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Addis boyz

Mélopées abyssines et riffs assassins,

 Eshi Konjo fait trembler les dancefloors du bout du monde au son de leur ETHIO BEAT!

 

Addis Abeba, fin des 60’s.

 

On sort, on danse, on écoute James Brown à la radio. Les mélodies envoûtantes des tezetas et des ambassels se chantent sur du rythm & blues, du jazz ou du rock. Les saxos et les trompettes des orchestres de la police ou de la garde impériale enregistrent avec les chanteurs populaires façon JB’s.

 

Un nouveau son est en train de naître dans la capitale éthiopienne.

 

Au même moment, en Jamaique on invente le reggae, au Nigéria l’afro-beat...

Fasciné par le groove éthiopien de cette époque, Eshi Konjo s’inspire de cette fusion créative, à la fois expérimentale et naïve, du moderne et de l'ancestral.

 

Les 5 musiciens électrisent les harmonies abyssines, et les nourrissent de rock, d’afro-beat ou de hip-hop, mais aussi de blues touareg, de gamelan javanais et de molams thaïlandais. Le groupe tresse des ponts de singe entre les musiques éthiopiennes, les musiques actuelles et les musiques du monde. Le sousaphone se la joue parfois guembri gnawa tandis que la guitare imite le vent du désert, et le sax rugit quand les deux tambours grondent. 

 

Incantations animales, pulsations hypnotiques et sophistiquées, Eshi Konjo compose une puissante musique de danse et de transe.

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